La configuration de diverses options suit l'installation. Une
option peut être configurée en accédant aux options de
configuration avant de redémarrer le nouveau système
FreeBSD ou après l'installation en utilisant la commande
sysinstall
et en sélectionnant
.
Si vous avez précédemment configuré PPP pour une installation par FTP, cet écran n'apparaîtra pas et peut être configuré plus tard comme décrit ci-dessus.
Pour une information détaillée sur les réseaux locaux et la configuration de FreeBSD en passerelle/routeur référez-vous au chapitre Administration réseau avancée.
Pour configurer un périphérique réseau, sélectionnez Entrée. Sinon, sélectionnez pour continuer.
et appuyez surSélectionnez l'interface à configurer avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée.
Dans ce réseau local privé l'actuel protocole Internet (IPv4) était suffisant et Entrée.
a été sélectionné avec les touches fléchées et suivie d'Si vous êtes connecté à une réseau (IPv6), existant avec un serveur RA, alors choisissez Entrée. Cela prendra plusieurs secondes pour rechercher des serveurs RA.
et appuyez surSi DHCP (“Dynamic Host Configuration Protocol”) n'est pas requis sélectionnez Entrée.
à l'aide des touches fléchées et appuyez surSélectionner dhclient, et en cas de succès, complétera l'information de configuration du réseau automatiquement. Référez-vous à la Section 28.5, « Configuration réseau automatique (DHCP) » pour plus d'information.
exécuteraL'écran de configuration réseau suivant montre la configuration du périphérique Ethernet pour un système qui sera passerelle pour un réseau local.
Utilisez Tab pour choisir les champs d'information et compléter avec l'information appropriée:
Le nom complet de la machine, e.g. k6-2.exemple.com
dans ce cas.
Le nom du domaine auquel appartient votre machine, e.g.
exemple.com
dans le cas présent.
L'adresse IP de l'hôte transmettant les paquets aux destinations non-locales. Vous devez complétez cela seulement si la machine est un noeud sur le réseau. Laissez ce champ vide si la machine est destinée à être la passerelle vers l'Internet pour le réseau. La passerelle (“gateway”) IPv4 est également connue sous le nom de passerelle par défaut ou route par défaut.
L'adresse IP de votre serveur DNS local. Il n'y a pas
de serveur DNS local sur ce réseau local privé aussi
l'adresse IP du serveur DNS du fournisseur d'accès
(208.163.10.2
) fut utilisée.
L'adresse IP employée pour cette interface fut
192.168.0.1
Le bloc d'adresse utilisé pour ce réseau local
est le bloc 192.168.0.0
- 192.168.0.255
) avec un
masque de sous-réseau de 255.255.255.0
.
Toutes options d'ifconfig
spécifiques aux
interfaces que vous voudriez ajouter. Il n'y en avait
aucune dans ce cas-ci.
Utilisez Tab pour sélectionner une fois terminé et appuyez sur Entrée.
La sélection de Entrée rendra l'accès réseau de la machine opérationnel. Cependant, cela ne n'accomplit pas grand chose durant l'installation puisque la machine a encore besoin d'être redémarrée.
suivie d'Si la machine jouera le rôle de passerelle pour le réseau local et transmettra les paquets entre machines alors sélectionnez Entrée. Si la machine est un noeud sur le réseau alors sélectionnez et appuyez sur Entrée pour continuer.
et appuyez surSi telnetd ne seront pas activés. Cela signifie que des utilisateurs à distance ne pourront pas se connecter par l'intermédiaire de telnet à cette machine. Les utilisateurs locaux seront toujours en mesure d'accéder à des machines distantes avec telnet.
est sélectionné, divers services tel queCes services peuvent être activés après
l'installation en éditant /etc/inetd.conf
avec votre éditeur
de texte favori. Voir la Section 28.2.1, « Généralités » pour
plus d'information.
Choisissez
si vous souhaitez configurer ces services pendant l'installation. Une confirmation supplémentaire s'affichera:Sélectionnez
pour continuer.Le choix #
au début
d'une ligne.
Après avoir ajouté les services désirés, l'appui sur Echap affichera un menu qui permettra de quitter et sauver les changements.
Sélectionner sshd(8), le programme « daemon » pour OpenSSH. Cela permettra l'ouverture à distance de sessions sécurisées sur votre machine. Pour plus d'information au sujet d'OpenSSH voir la Section 14.11, « OpenSSH ».
activeraChoisir le Entrée permettra toujours aux utilisateurs ayant des comptes avec mot de passe d'utiliser FTP pour accéder à la machine.
par défaut et appuyer surN'importe qui peut accéder à votre machine si vous choisissez d'autoriser les connexions par FTP anonyme. Les implications au niveau de la sécurité devraient être considérées avant d'activer cette option. Pour plus d'information sur la sécurité voir le Chapitre 14, Sécurité.
Pour autoriser le FTP anonyme, utilisez les touches fléchées pour sélectionner Entrée. Une confirmation supplémentaire apparaîtra:
et appuyez surCe message vous indique que le servec FTP devra
également être activé dans le fichier
/etc/inetd.conf
si vous voulez
autoriser les connexions FTP anonymes, voir la Section 2.10.3, « Configurer les services Internet ». Sélectionnez et
appuyez sur Entrée pour continuer;
l'écran suivant (ou semblable)
apparaîtra:
Utilisez la touche Tab pour choisir les champs d'information et compléter avec l'information appropriée:
L'ID utilisateur que vous voulez affecter à l'utilisateur du FTP anonyme. Tous les fichiers chargés sur le serveur appartiendront à cet ID.
Le groupe auquel appartiendra l'utilisateur du FTP anonyme.
La chaîne de caractères
décrivant cet utilisateur dans le fichier
/etc/passwd
.
L'emplacement où seront conservés les fichiers du FTP anonyme.
L'emplacement où seront stockés les fichiers téléchargés sur le serveur par les utilisateurs du FTP anonyme.
Le répertoire racine du FTP sera placé dans
/var
par défaut. Si vous n'avez pas de
place à cet endroit pour les besoins prévus du FTP, le
répertoire /usr
pourra être
utilisé en
configurant le répertoire racine FTP à
/usr/ftp
.
Quand vous êtes satisfait de ces valeurs, appuyez sur Entrée pour continuer.
Si vous sélectionnez Entrée, un éditeur sera automatiquement lancé vous permettant d'éditer le message.
et appuyez surC'est un éditeur de texte appelé
ee
.
Utilisez les instructions pour modifier le message ou
faites-le plus tard en utilisant l'éditeur de texte de votre
choix. Notez l'emplacement/le nom du fichier au bas de
l'écran.
Appuyez sur Echap et une boîte de dialogue apparaîtra avec l'option sélectionnée. Appuyez sur Entrée pour quitter et continuer. Appuyez à nouveau sur Entrée pour sauvegarder les modifications si vous en avez fait.
Le système de fichiers réseau (NFS) permet le partage de fichiers à travers un réseau. Une machine peut être configurée en serveur, client, ou les deux. Référez-vous à la Section 28.3, « Système de fichiers réseau (NFS) » pour plus d'information.
S'il n'y a aucun de besoin de serveur NFS, sélectionnez Entrée.
et appuyez surSi exports
doit être
créé.
Appuyez sur Entrée pour continuer. Un
éditeur de texte sera lancé pour permettre la
création et
l'edition du fichier exports
.
Suivez les instructions pour ajouter les systèmes de fichiers à exporter maintenant ou plus tard en utilisant l'éditeur de texte de votre choix. Notez le nom/l'emplacement au bas de l'écran de l'éditeur.
Appuyez sur Echap et une boîte de dialogue apparaîtra avec l'option sélectionnée. Appuyez sur Entrée pour quitter et continuer.
Ils y a plusieurs options disponibles pour personnaliser la console système.
Pour visualiser et configurer ces options, sélectionnez Entrée.
et appuyez surUne option généralement utilisée est l'économiseur d'écran. Utilisez les touches fléchées pour sélectionner Entrée.
et appuyez ensuite surSélectionnez l'économiseur d'écran désiré en utilisant les touches fléchées et puis appuyez sur Entrée. Le menu de configuration de la console système réapparaîtra.
L'intervalle de temps par défaut est de 300 secondes. Pour changer cet intervalle de temps, sélectionnez Entrée. Une boîte de dialogue apparaîtra:
à nouveau. Au menu de configuration de l'économiseur d'écran, sélectionnez en utilisant les touches fléchées et appuyez surLa valeur peut être changée, ensuite sélectionnez Entrée pour retourner au menu de configuration de la console système.
et appuyez surEn sélectionnant Entrée on poursuivra avec les options de post-installation.
et en appuyant surRégler le fuseau horaire sur votre machine lui permettra de corriger automatiquement tout changement horaire régional et d'exécuter d'autres fonctions liées au fuseau horaire correctement.
L'exemple présenté est pour une machine située dans le fuseau horaire oriental des Etats-Unis. Vos choix changeront en fonction de votre position géographique.
Sélectionnez Entrée pour régler le fuseau horaire.
et appuyez surSélectionnez Entrée.
ou en fonction de la configuration de l'horloge de la machine et appuyez surLa région appropriée est sélectionnée en utilisant les touches fléchées, puis en appuyant sur Entrée.
Sélectionnez le pays approprié en utilisant les touches fléchées et appuyez sur Entrée.
Le fuseau horaire approprié est sélectionné en utilisant les touches fléchées et en appuyant sur Entrée.
Confirmez que l'abréviation pour le fuseau horaire est correcte. Si cela semble bon, appuyez sur Enter pour continuer avec la configuration de post-installation.
La sélection de Entrée permettra d'exécuter des logiciels Linux sous FreeBSD. L'installation ajoutera les logiciels pré-compilés appropriés pour la compatibilité Linux.
et l'appui surSi l'on installe par FTP, la machine devra être connectée à l'Internet. Parfois un site FTP distant n'aura pas tous les ensembles de distributions comme la compatibilité binaire Linux. Cela peut être installé plus tard si nécessaire.
Cette option vous permettra de copier-coller du texte dans la console et les programmes utilisateur avec une souris 3 boutons. Si vous utilisez une souris 2 boutons, référez-vous à la page de manuel moused(8), après l'installation pour des détails sur l'émulation du troisième bouton. Cet exemple décrit la configuration d'une souris non-USB (comme une souris PS/2 ou sur port COM):
Sélectionnez Entrée.
pour une souris PS/2 ou série, ou pour une souris USB et appuyez surUtilisez les touches fléchées pour sélectionner Entrée.
et appuyez surLa souris utilisée dans cet exemple est de type PS/2, aussi la valeur par défaut Entrée pour quitter ce menu.
était appropriée. Pour changer le protocole, utilisez les touches fléchées pour sélectionner une autre option. Vérifiez que est surligné puis appuyez surUtilisez les touches fléchées pour sélectionner Entrée.
et appuyez surCe système avait une souris PS/2, aussi la valeur par défaut Entrée.
était appropriée. Pour changer le port, utilisez les touches fléchées et puis appuyez surFinalement, utilisez les touches fléchées pour sélectionner Entrée pour activer et tester le gestionnaire de la souris.
, et appuyez surDéplacez la souris sur l'écran et vérifiez que le curseur répond correctement. Si c'est le cas, sélectionnez Enter. Si ce n'est pas le cas, la souris n'a pas été configurée correctement — sélectionnez et essayez d'utiliser des options de configuration différentes.
et appuyez surSélectionnez Entrée pour continuer la configuration de post-installation.
avec les touches fléchées et appuyez surLes “packages” sont des logiciels pré-compilés et sont une manière commode d'installer des programmes.
L'installation d'un logiciel pré-compilé est
présenté comme illustration.
Des logiciels pré-compilés supplémentaires
peuvent être également ajoutés à ce
moment-là si désiré. Après
l'installation sysinstall
peut être
utilisé pour ajouter des logiciels pré-compilés
supplémentaires.
La sélection de Entrée seront suivis par les écrans de sélection des logiciels pré-compilés:
et l'appui surSeuls les logiciels du support d'installation sont disponibles pour être installés à n'importe quel moment.
Tous les logiciels disponibles seront affichés si Entrée.
est sélectionné ou vous pouvez choisir une catégorie particulière. Faites votre sélection en utilisant les touches fléchées puis appuyez surUn menu s'affichera en montrant tous les logiciels pré-compilés disponibles pour la catégorie sélectionnée:
L'interpréteur de commande bash apparaît sélectionné. Choisissez autant de logiciels que désiré en les surlignant et en appuyant sur la touche Espace. Une courte description de chaque logiciel apparaîtra dans le coin inférieur gauche de l'écran.
En appuyant sur la touche Tab on basculera entre le dernier logiciel pré-compilé, , et .
Quand vous avez fini de marquer les logiciels pré-compilés pour l'installation, appuyez sur Tab une nouvelle fois pour basculer sur et appuyez sur Entrée pour revenir au menu de sélection des logiciels pré-compilés.
Les touches fléchées gauche et droite basculeront également entre Entrée pour retourner au menu de sélection des logiciels pré-compilés.
et . Cette méthode peut être utilisée pour sélectionner et ensuite appuyer surUtilisez la touche Tab et les touches fléchées pour sélectionner et appuyez sur Entrée. Vous devrez alors confirmer que vous voulez installer les logiciels pré-compilés:
Sélectionner Entrée lancera l'installation des logiciels. Des messages d'installation apparaîtront jusqu'à la fin de l'installation. Prenez note des éventuels messages d'erreur.
et l'appui surLa configuration se poursuit après que les logiciels pré-compilés soient installés. Si vous ne choisissez aucun logiciel, et souhaitez retourner à la configuration finale, sélectionnez
.Vous devriez ajouter au moins un utilisateur pendant
l'installation de sorte que vous puissiez utiliser le système
sans être attaché en tant que root
.
La partition racine est généralement petite et utiliser
des applications en tant que root
peut
rapidement la remplir. Un plus grand danger est signalé
ci-dessous:
Sélectionnez Entrée pour continuer avec l'ajout d'un utilisateur.
et appuyez surSélectionnez Entrée.
avec les touches fléchées et appuyez surLes descriptions suivantes apparaîtront dans la partie inférieure de l'écran au fur et à mesure que les éléments seront sélectionnés avec Tab pour aider dans l'entrée des informations nécessaires:
L'identifiant du nouvel utilisateur (obligatoire).
L'identifiant numérique pour cet utilisateur (laisser tel quel pour le choix automatique).
Le nom du groupe pour cet utilisateur (laisser tel quel pour le choix automatique).
Le mot de passe pour cet utilisateur (compléter ce champ avec précaution!).
Le nom complet de l'utilisateur (commentaire).
Les groupes auxquels appartient l'utilisateur (i.e. dont il a les droits accès).
Le répertoire de l'utilisateur (laisser tel quel pour le choix automatique).
L'interpréteur de commande de l'utilisateur (laisser
tel quel pour le choix automatique, i.e.
/bin/sh
).
On a changé l'interpréteur de commande
/bin/sh
pour
/usr/local/bin/bash
afin d'utiliser
bash qui a été installé
précédemment sous forme de logiciel
pré-compilé. N'essayez pas d'utiliser un
interpréteur de commande qui n'existe pas ou vous ne serez pas
en mesure d'ouvrir de session. L'interpréteur de
commande le plus commun dans le monde BSD est
l'interpréteur C shell, qui peut être
spécifié à l'aide de
/bin/tcsh
.
L'utilisateur a aussi été ajouté au groupe
wheel
pour qu'il puisse devenir
super-utilisateur avec les privilèges de
root
.
Quand vous êtes satisfait, appuyez sur
et le menu de gestion des utilisateurs et des groupes réapparaîtra:Des groupes peuvent également être ajoutés
à ce moment si des besoins spécifiques sont connus.
Sinon, cela pourra être
fait en utilisant sysinstall
quand
l'installation sera achevée.
Quand vous en avez terminé avec l'ajout d'utilisateurs, sélectionnez Entrée pour continuer l'installation.
avec les touches fléchées et appuyez surAppuyez sur Entrée pour définir le
mot de passe de root
.
Le mot de passe devra être saisi deux fois correctement. Inutile de dire, que vous devez vous assurer d'avoir un moyen de retrouver le mot de passe si vous l'oubliez. Notez que le mot de passe que vous taperez ne s'affichera pas, il ne sera pas non plus remplacé par des astérisques.
L'installation continuera après que le mot de passe ait été entré avec succès.
Si vous devez configurer des services
réseau supplémentaires ou toute autre
configuration, vous pouvez le faire à ce moment-là
ou après l'installation en
utilisant sysinstall
.
Sélectionnez Entrée pour retourner au menu principal d'installation.
avec les touches fléchées et appuyez surSélectionnez Entrée. On vous demandera de confirmer votre désir de quitter l'installation:
avec les touches fléchées et appuyez surSélectionnez
et retirez la disquette si vous avez démarré depuis le lecteur de disquette. Le lecteur de CDROM est verrouillé jusqu'au redémarrage de la machine. Le lecteur de CDROM est alors déverrouillé et le CDROM peut être retiré du lecteur (rapidement).Le système redémarrera aussi faites attention à tout message d'erreur qui pourrait apparaître, voir la Section 2.10.16, « Démarrage de FreeBSD » pour plus de détails.
La configuration des services réseaux peut être une tâche intimidante pour les nouveaux utilisateurs s'ils ne possèdent pas de connaissances dans ce domaine. L'accès réseau, y compris l'Internet, est un élément essentiel de tout système d'exploitation moderne, c'est le cas de FreeBSD; il en résulte, qu'il est très utile de comprendre un peu les capacités réseau étendues de FreeBSD. Effectuer cette configuration lors de l'installation garantira que les utilisateurs ont une compréhension des divers services qui leur sont disponibles.
Les services réseaux sont des programmes qui
acceptent des entrées depuis n'importe quel endroit du
réseau. De nombreux efforts sont fait pour s'assurer
que ces programmes ne feront rien de “nocif”.
Malheureusement, les programmeurs ne sont pas parfait et par
le passé il y a eu des cas où des bogues dans
les services réseaux ont été
exploités par des personnes malveillantes pour faire de
mauvaises choses. Il est donc important que vous n'activiez
que les services dont vous avez besoin. Dans le doute, il
vaut mieux que vous n'activiez pas un service réseau
avant que vous ne vous rendiez compte que vous en avez
réellement besoin. Vous pouvez toujours l'activer plus
tard en relançant sysinstall
ou en utilisant les options fournies par le fichier
/etc/rc.conf
.
Sélectionner
fera apparaître un menu similaire au suivant:La première option, Section 2.10.1, « Configuration réseau », aussi cette option peut être ignorée sans risque.
, a été précédemment abordée dans laLa sélection de l'option
ajoute le support de l'utilitaire de montage automatique BSD. Il est généralement employé en conjonction avec le protocole NFS (voir plus bas) pour monter automatiquement les systèmes de fichiers distants. Aucune configuration particulière n'est ici nécessaire.La ligne suivante est l'option
. Quand elle est sélectionnée, un menu s'affichera pour que vous puissiez saisir les paramètres spécifiques à AMD. Le menu affiche déjà un ensemble d'options par défaut:L'option -a
fixe l'emplacement de
montage par défaut qui est ici
/.amd_mnt
. L'option
-l
spécifie le fichier journal par
défaut, cependant quand syslogd
est
utilisé toutes les traces seront envoyées au
“daemon” gérant les journaux
systèmes. Le répertoire /host
est employé pour
monter un système de fichiers exporté par une
machine distante, tandis que le répertoire /net
est utilisé pour
monter un système de fichiers exporté à
partir d'une adresse IP. Le fichier
/etc/amd.map
définit les options
par défaut pour les exportations
AMD.
L'option
autorise les connexions FTP anonymes. Sélectionnez cette option pour faire de la machine un serveur FTP anonyme. Soyez cependant conscient des risques de sécurité impliqués avec cette option. Un autre menu sera affiché pour expliquer les risques au niveau de la sécurité et la configuration en détail.Le menu de configuration
paramétrera la machine pour agir en passerelle comme expliqué précédemment. Cela peut être utilisé pour désactiver l'option si vous l'avez sélectionné accidentellement durant le processus d'installation.L'option inetd(8) comme exposé plus haut.
peut être utilisée pour configurer ou complètement désactiver le “daemon”L'option
est employée pour configurer l'agent de transfert du courrier électronique (“MTA”) par défaut du système. Choisir cette option fera afficher le menu suivant:On vous propose ici un choix de MTA à installer et à utiliser par défaut. Un MTA n'est ni plus ni moins qu'un serveur de courrier électronique qui délivre le courrier électronique aux utilisateurs sur le système ou sur l'Internet.
Sélectionner sendmail qui est celui par défaut sous FreeBSD. L'option fera en sorte que sendmail soit le MTA par défaut, mais désactivera sa capacité à recevoir du courrier électronique en provenance de l'Internet. Les autres options, et agissent de façon similaire à . Dans les deux cas le courrier électronique sera également distribué; cependant, certains utilisateurs, préfèrent ces alternatives au MTA sendmail.
installera le serveurAprès la sélection d'un MTA, ou avoir choisi de ne pas sélectionner de MTA, le menu de configuration du réseau apparaîtra avec l'option suivante qui est
.L'option Section 28.3, « Système de fichiers réseau (NFS) » pour plus d'informations sur la configuration du client et du serveur.
configurera le système pour communiquer avec un serveur via NFS. Un serveur NFS rend disponible à d'autres serveurs des systèmes de fichiers par l'intermédiaire du protocole NFS. Si c'est une machine indépendante, cette option peut rester désactivée. Ce système peut demander plus de configuration ultérieurement, consultez laSous cette option se trouve l'option
, vous permettant de configurer le système comme serveur NFS. Ceci ajoute l'information nécessaire pour démarrer les services d'appel de procédures distantes (RPC). Les RPC sont utilisées pour coordonner les connexions entre machines et programmes.L'option suivante est
, qui traite de la synchronisation de l'horloge. Quand cette option est sélectionnée, un menu semblable au suivant apparaît:A partir de ce menu, sélectionnez le serveur le plus proche de chez vous. En choisir un proche rendra la synchronisation plus précise qu'avec un serveur éloigné qui pourra présenter plus de délais dans la connexion.
L'option suivante est la sélection de
PCNFSD. Cette option installera le
paquetage net/pcnfsd
.
C'est un programme très utile qui fournit des services
d'authentification pour les systèmes qui sont dans
l'incapacité de fournir leur propre service
d'authentification, comme le système d'exploitation
MS-DOS® de Microsoft.
Maintenant vous devez faire défiler l'écran vers le bas pour voir les autres option:
Les utilitaires rpcbind(8), rpc.statd(8), et
rpc.lockd(8) sont utilisés pour les appels de
procédures distantes (RPC).
L'utilitaire rpcbind
gère la
communication entre serveurs et clients
NFS, et est nécessaire aux serveurs
NFS pour fonctionner correctement. Le
“daemon” rpc.statd
interagit avec le “daemon”
rpc.statd d'autres machines pour
fournir une possibilité de surveiller l'état des
communications. Le rapport est généralement
conservé dans le fichier
/var/db/statd.status
. La dernière
option proposée ici est l'option
, qui, quand elle est
sélectionnée, fournira des services de
verrouillage des fichiers. Cela est habituellement
utilisé avec rpc.statd pour
surveiller quelles machines demandent des verrous et la
fréquence de ces demandes. Alors que ces options sont
parfaites pour le déboguage, elles ne sont pas
nécessaires pour le bon fonctionnement des serveurs et
clients NFS.
En parcourant la liste, l'option suivante est
routed(8)
gère les tables de routage réseau, repère
les routeurs multicast, et fournit sur demande une copie des
tables de routage à toute machine connectée sur
le réseau. Ceci est principalement utilisé pour
les machines jouant le rôle de passerelle pour le
réseau local. Quand cette option est
sélectionnée, un menu apparaîtra demandant
l'emplacement par défaut de l'utilitaire. Cet
emplacement par défaut est déjà
défini pour vous, et peut être acquitté
avec la touche Entrée. Vous sera
alors présenté un nouveau menu, demandant cette
fois les paramètres à passer à
routed. Par défaut:
-q
qui devrait apparaître sur
l'écran.
La ligne suivante est l'option
rwhod(8) à l'initialisation du système.
L'utilitaire rwhod
diffuse les messages
système sur le réseau
régulièrement, ou les collecte quand il est dans
le mode “consumer”. Plus d'informations peuvent
être obtenues dans les pages de manuel ruptime(1)
et rwho(1).
L'option suivante dans la liste est le “daemon” sshd(8). C'est le serveur de connexions sécurisées pour OpenSSH et est hautement recommandé à la place de telnet et des serveurs FTP. Le serveur sshd est employé pour créer une connexion sécurisée d'une machine vers une autre en utilisant des connexions cryptées.
Enfin, il y a l'option
. Celle-ci active les extensions TCP comme définies dans les RFC 1323 et RFC 1644. Alors que cela peut sur certaines machines rendre les connexions plus rapides, cela peut également être à l'origine de pertes de connexion. Cette option n'est pas recommandée pour les serveurs, mais peut être bénéfique pour les machines individuelles.Une fois que vous avez configuré les services réseaux, vous pouvez remonter l'écran jusqu'à la toute première option qui est sysinstall en sélectionnant deux fois à suite puis .
et poursuivre avec la section de configuration suivante ou tout simplement quitterSi tout s'est bien passé, vous verrez des messages défiler à l'écran et vous arriverez à l'invite de session. Vous pouvez visualiser ces messages en appuyant sur Arrêt-défil et en utilisant les touches PgUp et PgDn. En appuyant à nouveau sur Arrêt-défil on retournera à l'invite.
L'intégralité des messages peut de pas être
affichée (limitation du tampon) mais peut être
visualisée depuis la ligne
de commande après l'ouverture d'une session en tapant
dmesg
à l'invite.
Attachez-vous au système en utilisant le nom d'utilisateur
et le mot de passe définis durant l'installation (rpratt
, dans
cet exemple). Evitez d'ouvrir des sessions en tant que
root
excepté quand cela est
nécessaire.
Messages de démarrage typiques (information sur la version omise):
La génération des clés RSA et DSA peut prendre du temps sur les machines lentes. Cela ne se produit qu'au premier démarrage d'une nouvelle installation. Les démarrages suivants seront plus rapides.
Si le serveur X a été configuré et
l'environnement de travail par défaut choisi, il peut
être lancé en tapant
startx
sur la ligne de commande.
Une fois la procédure d'installation terminée, vous serez en mesure de démarrer FreeBSD en tapant quelque chose comme ceci à l'invite SRM:
BOOT DKC0
Cela demande au firmware de démarrer sur le disque indiqué. Pour faire démarrer FreeBSD automatiquement dans le futur, utilisez ces commandes:
>>>
SET BOOT_OSFLAGS A
>>>
SET BOOT_FILE ''
>>>
SET BOOTDEF_DEV DKC0
>>>
SET AUTO_ACTION BOOT
Les messages de démarrage seront semblables (mais pas identiques) à ceux produits par le démarrage de FreeBSD sur i386™.
Il est important d'arrêter proprement le système
d'exploitation. N'appuyez pas directement sur votre bouton de
marche-arrêt. Tout d'abord, devenez super-utilisateur en tapant
su
sur la ligne de commande et en entrant le
mot de passe de root
. Cela ne fonctionnera
que si l'utilisateur est membre du groupe
wheel
. Sinon, ouvrez une session en tant
que root
et utilisez shutdown -h
now
.
On peut arrêter la machine sans risques après la que commande d'arrêt ait été effectuée et que le message “Please press any key to reboot” (Veuillez appuyez sur une touche pour redémarrer) apparaît. Si une touche est enfoncée plutôt que d'arrêter l'ordinateur, le système redémarrera.
Vous pouvez également utiliser la combinaison de touches Ctrl+Alt+Suppr, cependant cela n'est pas recommandé pour une utilisation normale.
Ce document, ainsi que d'autres peut être téléchargé sur ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/doc/
Pour toutes questions à propos de FreeBSD, lisez la
documentation avant de contacter
<questions@FreeBSD.org>.
Pour les questions sur cette documentation, contactez
<doc@FreeBSD.org>.